Guide des lampadaires solaires LED – watts, batterie et panneau
Guide des lampadaires solaires LED – watts, batterie et panneau
Introduction
L’éclairage public n’est pas universel : des autoroutes et voies rapides aux routes locales, ruelles, passages piétons et même pistes cyclables, les besoins en éclairage varient selon le type de voirie. Quel que soit le scénario, ces types de rues nécessitent un éclairage adapté pour garantir la sécurité de leurs usagers. Les lampadaires solaires LED et les lampadaires à courant alternatif sont les deux principales options. Cet article se concentre sur les principaux avantages des lampadaires solaires LED pour l’éclairage public et sur le choix du lampadaires solaires LED le mieux adapté à votre projet (consultez la liste des lampadaires solaires ZGSM). Cela nécessite de comprendre l’éclairage et les exigences des différents types de rues, et comment l’éclairage solaire peut répondre aux besoins d’éclairage des routes correspondantes. Nous nous concentrerons également sur la méthode de configuration scientifique de la puissance et de la capacité de la batterie des lampadaires solaires LED.
Pourquoi opter pour un lampadaires solaires LED ?
L’éclairage public offre une visibilité rapide, précise et confortable la nuit, ce qui contribue à réduire les accidents de la route, à fluidifier le trafic et à promouvoir les activités commerciales nocturnes et l’utilisation des équipements publics. Ces dernières années, la demande en éclairage public urbain s’est principalement orientée vers les lampadaires solaires LED. ZGSM estime que la généralisation des lampadaires solaires LED s’explique précisément par trois avantages fondamentaux : un éclairage efficace, une installation facile, des économies d’énergie et un respect de l’environnement.
Les lampadaires solaires utilisent désormais majoritairement des LED, généralement équipées de puces LED de 220 lm/W et plus. Leur rendement lumineux global peut ainsi avoisiner les 200 lm/W. Grâce à cette technologie, les lampadaires solaires LED peuvent éclairer la route avec une faible consommation. Avec une distribution lumineuse raisonnable (qu’est-ce que la distribution lumineuse ?), une puissance de 50 W, voire moins, permet d’obtenir la classe d’éclairage M2 pour l’éclairage des routes principales. Ces caractéristiques élargissent le champ d’application des lampadaires solaires LED.
L’installation de lampadaires solaires LED ne dépend pas des réseaux électriques traditionnels. Elle évite ainsi le creusement de tranchées de câbles, l’installation d’armoires de distribution et de transformateurs, etc. Les lampadaires solaires à LED offrent donc un potentiel considérable pour une utilisation en zones rurales, montagneuses, prairies et îles aux infrastructures imparfaites. De plus, leur coût d’installation peut être considérablement réduit.
Les lampadaires solaires LED absorbent l’énergie solaire grâce à des panneaux et stockent l’électricité dans des batteries grâce à des contrôleurs. Ils alimentent ensuite les sources lumineuses LED la nuit, rendant ainsi les lampadaires solaires LED indépendants des combustibles fossiles traditionnels. Prenons l’exemple d’un lampadaire solaire de 50 W : il permet de réduire les émissions de CO₂ de 150 kg par an (Note : En prenant l’exemple de l’énergie thermique, la production d’électricité de 1 kWh produit 0,7 kg de CO₂). Une telle réduction des émissions est essentielle pour la protection de l’environnement naturel, qui se dégrade de plus en plus. La figure ci-dessous illustre la composition et le principe de fonctionnement de l’énergie solaire.

Besoin d’éclairage pour l’éclairage de votre voirie
Les routes peuvent être divisées en différents types selon leurs fonctions et leurs normes de conception. Les autoroutes sont des axes de circulation interurbains ou transrégionaux à grande vitesse et longue distance. Elles sont entièrement fermées (sans intersections) et soumises à des limitations de vitesse élevées (par exemple, 100-120 km/h en Chine). Les autoroutes sont des voies rapides à l’intérieur des villes ou des banlieues. Ce sont généralement des routes entièrement fermées (ou comportant seulement quelques intersections) et soumises à des limitations de vitesse élevées, généralement de 80 à 100 km/h. Les routes principales urbaines sont les principales artères de circulation des villes, reliant les centres des différentes régions. Ces routes comportent généralement 4 à 8 voies à double sens, avec des îlots d’isolement au milieu, et des limitations de vitesse de 60 à 80 km/h ; les routes principales secondaires contribuent à la déviation du trafic des axes principaux, reliant les zones résidentielles, commerciales, industrielles et de services publics ; les routes secondaires sont utilisées pour les déplacements de courte distance dans les zones résidentielles/commerciales, généralement 2 à 3 voies à double sens, et les limitations de vitesse sont généralement de 40 km/h ; Les routes rurales relient les villages, les maisons et les terres agricoles, avec relativement peu de véhicules, et la vitesse est généralement limitée à 30 km/h. Ensemble, ces routes forment un réseau de transport complexe entre les villes, entre les villes et les zones rurales, et au sein des villes et des zones rurales.
Différentes routes ont été construites. Les exigences d’éclairage sont-elles donc fixes pour chaque type de route ? Normalement, si la limitation de vitesse est fixe, que le volume et la composition du trafic, la densité des intersections, la présence de véhicules en stationnement et la luminosité ambiante sont identiques, les exigences d’éclairage pour un même type de route sont fixes. Cependant, lorsque les paramètres diffèrent, les normes d’éclairage diffèrent également. Par exemple, sur les deux principales routes urbaines limitées à 80 km/h et 60 km/h, les exigences d’éclairage pour les premières sont plus élevées que pour les secondes, car la vitesse est plus élevée et un meilleur éclairage est nécessaire pour permettre au conducteur de bien voir l’état de la route. Par exemple, sur les routes secondaires urbaines, les exigences d’éclairage des routes où le stationnement est autorisé sont plus élevées que celles des routes où le stationnement est interdit, car les véhicules stationnés à proximité gênent la visibilité du conducteur. Un meilleur éclairage est donc nécessaire pour réduire les risques au volant. Existe-t-il donc un moyen d’aider les services municipaux à déterminer les normes d’éclairage ? La réponse est oui, et la norme EN13201-1 (Plus de détails sur la norme EN13201 pour la conception de l’éclairage public) fournit une méthode claire.
Les normes d’éclairage routier applicables aux véhicules motorisés incluent le niveau de luminosité (luminance) et l’uniformité, le niveau d’éclairement périphérique et la limite d’éblouissement résiduel. Si le projet comporte des exigences claires à ce sujet, la conception de l’éclairage (simulation d’éclairage) peut être réalisée conformément à ces exigences. En l’absence d’exigences, la norme EN13201-1 permet de sélectionner l’éclairage. Les paramètres pris en compte sont : la vitesse, le volume de trafic, la composition du trafic, la séparation des voies, la densité des intersections, les véhicules en stationnement, la luminosité ambiante, la difficulté de navigation, le guidage visuel et la gestion du trafic. Par exemple, pour une route dont la vitesse de conception est de 80 km/h, la valeur de pondération est de 1. Si le volume de trafic est élevé, la valeur de pondération est de 1. Si la chaussée n’est pas séparée (sans terre-plein central), la valeur de pondération est de 1. Si la densité des intersections est inférieure à 3/km, la valeur de pondération est de 0. Si la route est sans véhicules en stationnement, la valeur de pondération est de 1. Pour les autres valeurs de pondération, nous supposons qu’elles sont toutes égales à 0.
Paramètre | Options | Description | Valeur de pondération VW | ||
Vitesse de conception ou limite de vitesse | Très élevé | v ≥ 100 km/h | 2 | ||
Haut | 70 < v < 100 km/h | 1 | |||
Modéré | 40 < v ≤ 70 km/h | -1 | |||
Faible | v ≤ 40 km/h | -2 | |||
Volume de trafic | Autoroutes, routes à plusieurs voies | Itinéraires à deux voies | |||
Haut | > 65 % de la capacité maximale | > 45 % de la capacité maximale | 1 | ||
Modéré | 35 % – 65 % de la capacité maximale | 15 % – 45 % de la capacité maximale | 0 | ||
Faible | < 35 % de la capacité maximale | < 15 % de la capacité maximale | -1 | ||
Composition du trafic | Mélangé avec un pourcentage élevé de personnes non motorisées | 2 | |||
Mixte | 1 | ||||
Motorisé uniquement | 0 | ||||
Séparation de la chaussée | Non | 1 | |||
Oui | 0 | ||||
Densité de jonction | Intersection/km | Échangeurs, distance entre les ponts, km | |||
Haut | > 3 | < 3 | 1 | ||
Modéré | ≤ 3 | ≥ 3 | 0 | ||
Véhicules en stationnement | Présent | 1 | |||
Absent | 0 | ||||
Luminosité ambiante | Haut | vitrines, expressions publicitaires, terrains de sport, zones de gare, zones de stockage | 1 | ||
Modéré | situation normale | 0 | |||
Faible | -1 | ||||
Tâche de navigation | Très difficile | 2 | |||
Difficile | 1 | ||||
Facile | 0 |